Jeudi 5 mars
Vol sans histoire. Nous avons eu cette fois nos deux sièges tout au fond, la nourriture est bonne et servie sans arrêt, y compris un popsicle glacé à 1 heure du matin pour les chanceux comme moi qui ne dorment pas.
Nous arrivons à 5 h 30 du matin à Chennai.
Bel accueil à la sortie de l'avion, alors que, après avoir rempli des formulaires pour le Coronavirus, les officiels nous attendent pour prendre notre température. Heureusement, nous n'en faisons pas et nous pouvons nous mettre dans la longue file pour les douanes. Une heure trente après, nous sommes les derniers à ramasser nos bagages qui nous attendent patiemment à côté du tapis roulant et nous voilà prêts à affronter la jungle indienne dehors.
Comme prévu, l'humidité nous agresse, oh boy qu'il fait chaud et il est seulement 7 h du matin! Un homme se dirige vers nous en nous proposant son taxi, nous refusons, car nous avons bien appris notre leçon qui nous dit de ne prendre que des prepaid taxis. Le gars nous accompagne au kiosque du prepaid taxi et, surprise, il n'y a personne. Je demande au gars combien il nous chargerait pour nous amener à l'hôtel, il nous dit 2300 roupies. Je m'obstine un peu pour la forme (l'hôtel nous demandait 2000 roupies pour venir nous chercher), il accepte 2000 en disant qu'on lui en donnera 2300 à la fin 'because you will like me'.
Nous découvrons bien vite la pollution, la saleté et le trafic des grandes villes indiennes. C'est incroyablement sale partout, inimaginable. Et cela sent mauvais. Beurk. La circulation est du grand n'importe quoi et notre chauffeur est kamikaze (mais, bon, on en a vu d'autres au Vietnam et on reste stoïques). Il essaie de nous faire payer les péages, je lui dis qu'on lui donnera 2300 roupies à la fin, mais que ça inclura tout. Il accepte.
Heureusement, l'air devient plus respirable en sortant de Chennai, mais l'environnement reste incroyablement sale. Il y a des déchets absolument partout.
Arrivée à l'hôtel vers 8 h 30, par chance la chambre est prête et nous pouvons nous installer. Trop mignon mais il faudra rester sous le ventilateur pour survivre...
Nous ressortons pour aller trouver des cartes SIM. Le premier vendeur refuse, le deuxième accepte, mais cela prend 2 h 30, du renfort et beaucoup de sueur avant que nous puissions ressortir avec nos deux téléphones garnis d'une carte qui, pour 10$, nous permettra d'utiliser 1,5 gigs de données...par jour!!! Le vendeur a bien ri quand je lui ai demandé si c'était par jour ou par mois, je crois qu'il ne peut pas imaginer qu'on puisse vendre une carte qui ne permet que 1,5 gigs de data par mois (ben oui, au Canada par exemple!). Pendant l'attente, nous voyons nos premiers singes!
Lunch ensuite au restau-terrasse, délicieux, je teste la bouffe avec les mains. Beuh. Pas évident.
On retourne à l'hôtel par la plage.
Nous tombons comme des masses sur le lit pour nous réveiller à 17 h, prêts à continuer à dormir, mais si on veut se remettre du décalage horaire, mieux vaut se lever!
Surprise : le contact de Jacques en Inde, Bala, nous demande de le rejoindre à son hôtel pour souper avec lui et deux de ses amis. Nous n'avons vraiment pas faim, mais nous y allons avec plaisir. Ils nous attendent autour d'une table placée spécialement pour nous au bord de la piscine et les mets se succèdent sans arrêt, notre hôte se faisant un devoir de nous faire goûter à tout. Et tout est bon et pas trop épicé. Mais je ne pourrai pas dire trop ce qu'on a mangé exactement... soirée très agréable et conversation super intéressante.
Nous revenons tranquillement à l'hôtel par les petites rues.
Vol sans histoire. Nous avons eu cette fois nos deux sièges tout au fond, la nourriture est bonne et servie sans arrêt, y compris un popsicle glacé à 1 heure du matin pour les chanceux comme moi qui ne dorment pas.
Nous arrivons à 5 h 30 du matin à Chennai.
Bel accueil à la sortie de l'avion, alors que, après avoir rempli des formulaires pour le Coronavirus, les officiels nous attendent pour prendre notre température. Heureusement, nous n'en faisons pas et nous pouvons nous mettre dans la longue file pour les douanes. Une heure trente après, nous sommes les derniers à ramasser nos bagages qui nous attendent patiemment à côté du tapis roulant et nous voilà prêts à affronter la jungle indienne dehors.
Comme prévu, l'humidité nous agresse, oh boy qu'il fait chaud et il est seulement 7 h du matin! Un homme se dirige vers nous en nous proposant son taxi, nous refusons, car nous avons bien appris notre leçon qui nous dit de ne prendre que des prepaid taxis. Le gars nous accompagne au kiosque du prepaid taxi et, surprise, il n'y a personne. Je demande au gars combien il nous chargerait pour nous amener à l'hôtel, il nous dit 2300 roupies. Je m'obstine un peu pour la forme (l'hôtel nous demandait 2000 roupies pour venir nous chercher), il accepte 2000 en disant qu'on lui en donnera 2300 à la fin 'because you will like me'.
Nous découvrons bien vite la pollution, la saleté et le trafic des grandes villes indiennes. C'est incroyablement sale partout, inimaginable. Et cela sent mauvais. Beurk. La circulation est du grand n'importe quoi et notre chauffeur est kamikaze (mais, bon, on en a vu d'autres au Vietnam et on reste stoïques). Il essaie de nous faire payer les péages, je lui dis qu'on lui donnera 2300 roupies à la fin, mais que ça inclura tout. Il accepte.
Heureusement, l'air devient plus respirable en sortant de Chennai, mais l'environnement reste incroyablement sale. Il y a des déchets absolument partout.
Arrivée à l'hôtel vers 8 h 30, par chance la chambre est prête et nous pouvons nous installer. Trop mignon mais il faudra rester sous le ventilateur pour survivre...
Les vaches sacrées du voisin et le genre de décor ambiant habituel
Nous ressortons pour aller trouver des cartes SIM. Le premier vendeur refuse, le deuxième accepte, mais cela prend 2 h 30, du renfort et beaucoup de sueur avant que nous puissions ressortir avec nos deux téléphones garnis d'une carte qui, pour 10$, nous permettra d'utiliser 1,5 gigs de données...par jour!!! Le vendeur a bien ri quand je lui ai demandé si c'était par jour ou par mois, je crois qu'il ne peut pas imaginer qu'on puisse vendre une carte qui ne permet que 1,5 gigs de data par mois (ben oui, au Canada par exemple!). Pendant l'attente, nous voyons nos premiers singes!
Lunch ensuite au restau-terrasse, délicieux, je teste la bouffe avec les mains. Beuh. Pas évident.
On retourne à l'hôtel par la plage.
De beaux coquillages habités par des créatures étranges
Surprise : le contact de Jacques en Inde, Bala, nous demande de le rejoindre à son hôtel pour souper avec lui et deux de ses amis. Nous n'avons vraiment pas faim, mais nous y allons avec plaisir. Ils nous attendent autour d'une table placée spécialement pour nous au bord de la piscine et les mets se succèdent sans arrêt, notre hôte se faisant un devoir de nous faire goûter à tout. Et tout est bon et pas trop épicé. Mais je ne pourrai pas dire trop ce qu'on a mangé exactement... soirée très agréable et conversation super intéressante.
Nous revenons tranquillement à l'hôtel par les petites rues.
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